FAQ - Questions fréquemment posées
Un accompagnement réussi
On voulait vous raconter l’histoire de Cassandre, une jeune Royannaise de 21 ans. Pourquoi ? Parce que son histoire nous parle et pourrait bien en inspirer certains.
Avant toute cette histoire et ces confinements multiples, Cassandre était en BTS Management en Hôtellerie Restauration. BTS qu’elle a obtenu en juin 2020 au Lycée Hôtelier de La Rochelle. Ensuite, elle enchaîne avec une saison et puis patatras : confinement et retour chez les parents en octobre 2020. C’est là qu’elle va faire connaissance avec la Mission Locale et plus particulièrement Emeline, sa conseillère : « C’est mon père, qui est prof au Lycée Cordouan, qui m’a parlé de la Mission Locale ».
Une rencontre et des projets
Dès le premier rendez-vous, le courant passe bien entre Cassandre et Emeline. Et les démarches s’enchaînent : « On a travaillé mon CV et ma lettre de motivation et elle m’a aidé à postuler ». Cassandre trouve un CDD au Drive de Super U et prend des cours d’anglais au CAREL : « J’ai eu un financement Pôle Emploi. J’avais le projet de partir à l’étranger ».
Un suivi continu
Même si elle est aussi accompagnée par Pôle Emploi, Cassandre garde le contact avec Emeline, par téléphone ou SMS : « Elle me rassurait ou m’expliquait des choses quand j’avais besoin » explique Cassandre qui sort d’une saison à l’accueil d’un camping. En parallèle, elle a réussi à trouver un taf à l’année. Et Cassandre donne toujours des nouvelles à Emeline de temps en temps.
Un CDI à Paris
La bonne nouvelle pour Cassandre, c’est qu’après deux entretiens bien préparés, elle a décroché un poste de réceptionniste au Pley Hôtel à Paris : « Un CDI à temps plein » se réjouit-elle. Pour rejoindre son hôtel 4 étoiles, Cassandre à 50 minutes de trajet en partant de sa colloc située en périphérie de Paris. Pour nous ça parait énorme mais à Paris, 50 minutes pour aller bosser, c’est normal.
L’équipe de la Mission Locale tient à remercier Cassandre pour son témoignage et surtout, à la féliciter pour avoir eu le cran de partir travailler à Paris. Mais quand on sait ce qu’on veut et qu’on fait ce qu’on aime, on est capable de plein de choses.
Amélie a 20 ans et vit à Cozes. C’est là-bas qu’elle a créé son entreprise Ameresine.
Aujourd’hui, elle fabrique des objets déco en résine. Elle nous raconte son parcours express et comment elle s’y prend pour créer et vendre ses objets.
Au départ, Amélie était partie dans l’horticulture : le grand air, la nature et tout ça. Mais une fois son CAP obtenu (ce qui est déjà une réussite)… rien. Pendant 2 ans c’est un peu le grand vide. Et puis, tout va se bousculer et s’accélérer. Notamment avec la découverte de la résine epoxy : « J’ai vu ça en vidéo et il y a aussi mon père qui s’y est mis. Donc j’ai essayé et ça m’a plu ».
En 3 mois, elle monte sa boîte
Orientée par Pôle Emploi, Amélie fait la rencontre d’Emeline, conseillère à la Mission Locale. Comme elle a envie de tenter sa chance, elle en parle à Emeline : « Elle m’a envoyée à la plateforme Entreprendre à Royan et m’a fait participer à un webinaire sur la création d’entreprise. C’était hyper intéressant pour connaître les aides financières ou comment trouver des clients ». Un tour à la Chambre de Commerce pour faire les démarches administratives et hop, la microentreprise Ameresine est née : « C’est un mix entre Amélie et Résine » dit-elle amusée.
Un travail d’artiste
Euh, Amélie, c’est quoi la résine Epoxy ? « On mélange des liquides que l’on place dans des moules. On laisse durcir entre 12 et 24h et l’objet est prêt » explique-t-elle.
Mais comment donner du style à ses objets ? « Tout se fait lors du mélange, je mets les couleurs, les paillettes si j’ai envie d’en mettre, etc… Une fois l’objet démoulé, il est prêt » détaille celle qui a pu se lancer grâce à ses économies faites lorsqu’elle a bossé à la Ville de Royan.
Mais que peut-on faire avec de la résine ? Un peu tout en fait. Cela peut aller jusqu’à une table dans laquelle on intègre la résine au bois. Mais pour l’instant, Amélie n’en est pas là. Avec le matériel qu’elle a acheté, elle fait « des petits objets de déco : boîtes, vases, porte-clés, cendriers ou encore marque-pages ».
Marchés de Noël et internet
Pour gagner sa vie, Amélie doit vendre ! « Au début, je vendais principalement à mes proches. Maintenant j’en vends aussi sur etsy.fr et je vais faire quelques marchés de Noël » s’enthousiasme la jeune fille, patronne à 20 ans. On va bientôt la retrouver à Semussac, Gémozac ou encore Saintes.
Si elle reste encore un peu en contact avec Emeline, Amélie se débrouille maintenant toute seule mais elle sait qu’elle peut compter sur le soutien de sa conseillère si elle en a besoin.
Et pour les curieux, allez sur son Insta : @ameresine.
Léa a 22 ans et ça fait déjà 2 ans qu’elle est à la tête de son entreprise. On peut dire qu’elle est en avance pour son âge. Normal pour une horlogère ;-) . En tout cas, aujourd’hui, elle bosse dans son propre atelier et prend quelques instants pour nous raconter son parcours.
Tout commence par un départ. Celui pour Mérignac afin de passer son CAP Horloger Réparateur. CAP obtenu après deux ans de travail et de stages, à Rochefort et Lille. Oui, Lille, dans le Nord : « Je n’arrivais pas à trouver, les gens ne prennent pas. A la fin, je prenais un numéro au hasard et j’appelais » se souvient Léa.
Ensuite, elle enchaîne avec un Brevet des Métiers d’Art, en 2 ans et la voilà horlogère.
Au début, elle dépanne les copains ou la famille : « C’était juste comme ça mais finalement, je me suis dit ‘’pourquoi pas me lancer’’ ».
Un petit tour à la Mission Locale
Léa ne sait pas du tout comment s’y prendre alors elle vient à la mission locale et rencontre Ruzanna, sa conseillère. Ensuite elle intègre la Garantie Jeunes et là, tout s’accélère. Comme la trotteuse d’une bonne montre. « J’ai bien été aidée par Christel et Nathalie, les filles de la Garantie Jeunes, et aussi par Emilie. Grâce à elles, j’ai pu me faire financer une formation pour apprendre à gérer son entreprise. J’ai aussi gagné en confiance pour me lancer, notamment pour aller voir les banques, c’était difficile ». Finalement, Léa n’a pas eu besoin de faire un crédit : « Grâce à la Garantie Jeunes et en bossant un peu, j’ai pu faire des économies et acheter le matériel pour commencer ».
En 2020, la micro entreprise L’Heure Pile voit le jour.
Objectif : créer sa marque
Aujourd’hui, Léa répare tout ce qui ne tourne plus : horloge, montre, réveil… Dans un ancien chai situé chez elle, elle met son « serre-tête » avec la loupe et travaille minutieusement. « J’ai du stock sur certaines pièces ou je commande quand j’ai besoin » détaille Léa qui nous a rapporté des gâteaux.
Elle s’est même associée à une ancienne camarade de classe, son ancienne « voisine d’établi » avec qui elle échange quelques réparations : « Je lui envoie des montres et elle m’envoie des horloges ». Tout ça emballé minutieusement évidemment.
Aujourd’hui, elle gère sa boîte seule et pense même déjà plus loin : « J’aimerais créer mes propres montres, ma propre marque » se projette-t-elle.
En attendant, si vous voulez être ponctuel, vous réveiller le matin ou juste savoir l’heure qu’il est, vous pouvez confier tout cela à Léa qui se fera un plaisir de tout vous réparer : « EN plus le devis est gratuit » glisse-t-elle en souriant.
La peinture, c’est une histoire de famille chez les Duplessis.
Le père est peintre, le frère aussi et il y a Alix, jeune peintre à son compte depuis septembre 2020. Après quelques petits boulots, il a franchi la porte de la Mission Locale pour se lancer sérieusement. Aujourd’hui, ADPS Peinture va bien. Merci pour lui. On vous raconte son parcours.
C’est pas nouveau, beaucoup d’enfants emboitent le pas de leurs parents. C’est le cas d’Alix : « J’ai découvert la peinture avec mon père quand j’étais petit, je lui donnais des coups de main sur les chantier ». Si on ajoute à cela le côté manuel qui lui plaît et un dégoût certain pour l’école, la voie est toute trouvée : le CAP Peinture. « Je voulais avoir un diplôme alors je l’ai passé, à côté de Barbezieux ». Mais Alix n’a que 17 ans à la sortie du CFA. « En plus je n’avais pas de permis donc pour bosser ce n’était pas facile. Notamment pour les déplacements sur les chantiers. En plus je vivais chez des potes, bref, c’était pas génial. Et là j’ai eu déclic. Je me suis dit ‘’faut que je me bouge’’ » se souvient Alix.
Contrat d’avenir, intérim et prise de conscience
Pour se bouger, Alix a eu une bonne idée : se rendre à la Mission Locale. Il y rencontre Emilie, du Pôle entreprise. Elle l’envoie à St Augustin, en contrat d’avenir en tant qu’agent d’entretien en bâtiments : « Je faisais de la peinture mais pas que. Aussi de la maçonnerie, de l’électricité. Ça faisait partie de mes formations ». Après 2 ans et demi, il change pour faire de l’intérim en peinture, avec, entres autres, un CDD de 3 mois : « Je me suis rendu compte que je n’étais pas fait pour être salarié, que je n’aimais pas recevoir des ordres ».
Monter sa boîte
« J’avais envie d’être à mon compte depuis mon apprentissage » explique Alix. Alors il reprend contact avec Emilie, qui l’encourage dans ce projet. Comme son frère avant lui, Alix monte sa boîte. Aidé par sa belle-sœur pour le côté administratif, il donne naissance à ADPS Peinture, en septembre 2020. Depuis, Alix bosse pour lui.
Investir pour mieux intervenir
Alix en a vu de toutes les couleurs, et ça tombe bien pour un peintre. Ça lui a permis de bien se préparer et bien s’équiper : « Au début j’ai acheté un utilitaire pour aller sur les chantiers avec le matériel. Depuis, j’ai un nouveau véhicule et un échafaudage ». Pour stocker, il se sert de son garage à Barzan. Aujourd’hui, il intervient entre Royan et Gémozac et on lui doit notamment la belle peinture toute neuve de notre nouveau local situé Rue Lépine à Royan.
Alix aime son boulot depuis tout petit et il est loin d’être au bout du rouleau ;-). Et pour se détendre, il pêche ou alors il part en balade avec son détecteur de métaux.
Facebook : ADPS Peinture
Arrivé d’Afghanistan l’été dernier, Ibrahim a bien su rebondir en France. Pourtant, ce n’était pas gagné d’avance, entre la barrière de la langue, un passé mouvementé et sa vie au CADA (Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile) à Corme-Ecluse. Aujourd’hui, Ibrahim est aide-cuisinier au Tiki et voit déjà plus loin. On vous raconte.
Après avoir fini l’école et obtenu l’équivalent du Bac à Kaboul, en Afghanistan, Ibrahim a enchaîné les petits boulots : « J’ai été taxi ou encore vendeur de meubles » dit-il en anglais, ne maitrisant pas encore totalement le français. « C’est difficile le français. L’anglais c’est plus facile à apprendre » ajoute-t-il. Et il n’a pas tort. Déjà que le français pour les français ce n’est pas facile. Alors imaginez pour quelqu’un qui vient d’un pays ou même les lettres de l’alphabet ne sont pas pareilles…
Bref, Ibrahim a dû fuir son pays en 2020.
La menace des Talibans
Sans rentrer dans les détails, Ibrahim a eu un « léger différend » avec les Talibans : « Ils ont tué mon père et j’ai dû quitter le pays » précise-t-il courageusement. Mais partir où ? « J’avais vu des choses sur la France et c’est un pays qui me plaisait » se souvient celui dont le périple est digne d’un film hollywoodien. Accrochez-vous. Pour venir en France, Ibrahim et ses 3 copains de route n’ont pu compter que sur leurs pieds pour parcourir les quelques 7200 km les séparant de Paris.
10 mois pour 10 pays
Le scénario est incroyable, pourtant, c’est bien la vraie vie d’Ibrahim : « J’ai mis 10 mois pour arriver en France. On a traversé 10 pays : Afghanistan, Iran, Turquie, Bulgarie, Serbie, Bosnie, Croatie, Slovénie, Italie et France » détaille-t-il. Avec un détail important : « On devait se cacher sinon on pouvait nous renvoyer dans notre pays ». Alors le groupe reste à l’écart des villes, construit des cabanes et des abris dans la forêt, se débrouille pour la nourriture et, pour boire, quand il le faut, ils boivent à genoux dans des flaques d’eau. Une épreuve qu’a traversé Ibrahim pour enfin toucher le graal : la France.
Paris – Corme Ecluse – Mission Locale
D’abord passé par Paris, Ibrahim est ensuite envoyé à Poitiers avant d’arriver quelques jours plus tard au CADA de Corme-Ecluse. On est à l’été 2021. Après quelques temps, il pousse la porte de la Mission Locale et rencontre Emeline, sa conseillère : « Elle m’a aidé dans mes démarches, pour faire mon CV afin de travailler en cuisine ». Même s’il n’a pas d’expérience dans ce domaine, il a la passion et l’envie de cuisiner : « Je cuisinais déjà en Afghanistan, on a un plat typique là-bas, le Qabili ».
Un suivi personnalisé
La situation d’Ibrahim, vous vous en doutez, était un peu compliquée. Alors Emeline et les membres du CADA ont pris les choses en main. Il a fallu faire les démarches administratives pour les papiers de demande d’asile, aider à trouver un boulot, et depuis peu, un appartement.
Aujourd’hui, Ibrahim vit dans son propre logement, tout seul à Médis, bosse au Tiki et à ses papiers en règle !
Apprendre et se lancer
« Je suis en CDD pendant 1 an mais j’espère que ça continuera. Je fais les pizzas et j’aide en cuisine » raconte Ibrahim toujours prêt à nous payer une pizza ! Il aime son métier, il aime travailler et a des projets en tête : « Je veux apprendre la cuisine française, gagner de l’argent pour un jour ouvrir mon propre restaurant ».
Mais il garde les pieds sur terre : « Je sais que ça prendra du temps. D’abord je commencerais par un petit resto puis après on verra pour un plus grand ». Et pas question pour lui de faire le fainéant : « Je suis jeune, je suis dans le bon âge pour travailler dur ».
Quand il n’est pas derrière son four à pizza, il aime lire et pratiquer le taekwondo. Mais il essaye aussi de progresser en français : « Je comprends assez bien mais c’est dur pour parler. J’essaye de prendre des cours mais avec le travail, ce n’est pas évident ».
Sérénité et générosité
Ibrahim n’a que 25 ans mais il a déjà vécu mille vies. Aujourd’hui, il aspire à un peu de calme, de stabilité et il veut continuer de s’épanouir au Tiki.
En plus, il a de la reconnaissance puisque pour fêter l’obtention de sa demande d’asile, il a invité tous ceux qui l’ont aidé : Monsieur et madame Garnier du Tiki mais aussi Emeline, toujours là pour lui donner un coup de main dans ses démarches.
Maintenant, on n’attend plus qu’une chose, qu’Ibrahim nous fasse goûter son Qabili afghan !!!
Sylvia a 24 ans et vient de monter sa micro entreprise Sweet Mobil’Ohm pour donner des cours de Yoga. Mais avant cela, elle a eu le temps de passer un Master, de faire une formation de yoga en Inde, une formation en danse et une Garantie Jeunes. Bref, elle est très active et on a voulu vous raconter son parcours. Son parcours, Sylvia le conte pour nous.
Née à Strasbourg où elle grandit et enchaîne collège et Lycée, Sylvia va ensuite bouger : « J’aime bien découvrir de nouvelles villes et ne pas retourner dans celles que je connais déjà ». Alors elle part à Paris faire une Licence de Commerce avec une année type Erasmus à Berlin. Son Bac +3 en poche ne lui suffit pas. Elle continue à Angers avec un Master en Solidarité internationale et Action Sociale. Et voilà, Bac +5 ! Mais Sylvia est dynamique et a envie d’autres choses, notamment de faire une formation en danse… à Royan
965 kilomètres
« Je voulais faire une formation de danse mais en petit groupe et avec une ouverture sur l’art en général et la culture. Il n’y en a pas beaucoup et donc je suis venue à Royan » explique Sylvia avec ses beaux yeux bleus. Elle intègre Art’cade sous la houlette de Benoit Savignat. Pour financer la formation de 10 mois à raison de 35h par semaine, elle vient à la Mission Locale et rencontre Guayarmina : « Elle m’a aidé à candidater pour bénéficier d’une aide financière » Elle obtient 1000 € grâce au FPJR (Fond Pour les Jeunes Royannais). Aidée également par ses parents, Sylvia se trouve un appart’ et bientôt, des potes. Pas facile quand on s’exile brutalement à plus de 900km de chez soi.
Découverte du yoga en Inde
Intéressée par le yoga depuis quelques temps alors qu’elle est encore en études, Sylvia a un jour voulu en savoir plus. Quoi de mieux pour découvrir cette discipline que d’aller à la source : « Je suis partie un mois en Inde, dans un lieu très réputé pour le yoga. Un lieu isolé un peu perdu dans la montagne » sourit-elle. En tout cas, le stage fait son effet : « Ça m’a donné envie de transmettre et de donner des cours ». On est en 2019. Depuis, pour ne pas perdre la main, elle a fait quelques petites formations, en France cette fois-ci. Mais depuis, le yoga a une part importante dans sa vie.
Garantie Jeunes et confirmation
A l’automne dernier, Sylvia intègre la Garantie Jeunes au sein de la Mission Locale. Cela lui offre un petit matelas financier, à peine plus épais qu’un tapis de yoga. Mais ça lui offre aussi la possibilité de bosser et faire des stages. Au-delà de ses petites missions niveau taf, elle retient surtout son stage : « C’était avec une prof de yoga. Je voulais voir le public qui y participait et comment elle organisait ses cours » précise-t-elle avec maturité.
Hello Sweet Mobil’Ohm
Conquise par le métier, elle hésite dans un premier temps entre « un boulot dans le social où j’ai fait mes études » ou bien le yoga. Comme je n’ai rien trouvé dans le social, j’ai opté pour le yoga ». Elle décide de monter sa micro-entreprise fin 2021. « Ça s’appelle Sweet Mobil’Ohm en hommage au son emblématique du yoga » dit-elle en clin d’œil. Sylvia se fait coacher pour bien gérer son entreprise liée au yoga. Et même si c’est encore tout frais et à bien ficeler, elle se prépare déjà à donner des cours en visio ou à domicile : « J’en donne déjà à ma famille et à mes amis. Ça permet de garder le rythme ».
Petits boulots et coups de main
« La Mission Locale m’a permis de trier mes idées, mes envies et à les prioriser mais aussi à faire ce stage de yoga qui était super ! L’aide financière m’a bien rendu service parce que déjà que j’ai dû taper dans mes économies… » détaille la nouvelle gérante d’entreprise. Aujourd’hui, en plus de la Garantie Jeunes, Sylvia fait quelques petits boulots comme du baby-sitting ou de l’animation culturelle pour les séniors. Elle garde un peu de temps pour peaufiner sa Com’, organiser son entreprise, afin de bientôt se lancer dans le grand bain.
Facebook et Insta : Sweet Mobil’Ohm
Gaëtan Blin
Le paysage s’éclaircit